Antonio Cortés en Presse


http://cruisenbcn.wordpress.com/2011/02/24/kulinarisches-in-deutschland/

Kulinarisches in Deutschland

Ich neige nicht zu Übertreibungen wenn ich behaupte der Deutsche an und für sich hat keine Kultur, damit meine ich ganz speziell keine Essenskultur. Der Deutsche ist was er isst und das schert ihn einen Dreck. Essen ist für ihn ein Muss eine Notwendigkeit, also eine Belastung schlechthin, das da zwangsläufig die Qualität auf der Strecke bleiben muss erklärt sich von selbst. Folglich sieht ein Essensplan dann so aus. Morgens: Zum morgendlichen Kaffee gibt es ein belegtes Brot mit Schinkenimitat ( Gel-Schinken) dazu eine Scheibe Analog-Käse zum morgendlichem Verzehr. Häufig kommt dazu ein mit Dioxin verseuchtes Ei.Mittags: Gibt es Fisch. Natürlich einen Industriefisch den Pangasius, denn er ist Anspruchslos, günstig zu züchten, grätenarm und schnell wachsend, wie die FAZ es treffend beschreibt. Da interessiert es dem Deutschen auch nicht, das er zugleich der wässrigste und vitaminärmste Fisch überhaupt ist. Ein bisschen Historie zum Pangasius. Das alles ist nachlesbar in der FAZ wie ich schon sagte. „Sein Fleisch hat fast keine Farbe und fast keinen Geschmack. Er frisst fast alles und kommt mit relativ wenig Sauerstoff aus. Im Mekong-Delta wird er mit einem Mischfutter aus Reis, Soja und Bananen gefüttert und nach der Schlachtung in Fabriken, in denen teils mehrere hundert Arbeiter am Fließband stehen, filetiert.“ Mmmh lecker. Abends: Nur einen Salat man will ja schließlich gesund leben. Wer Salatrezepte in die Suchmaske bei Chefkoch.de eingibt erhält14184 Salatrezepte. Ja spinne ich denn. Das beste am Salat ist natürlich das, der, die, Dressing. Das klingt eigentlich französisch hat aber noch nie ein Schwein in Frankreich gehört und ähnelt eher einer Umkleide Kabine. Festags:Manchmal gönnt sich der Deutsche mal was feines. Dann gibt es spanischen Serrano Schinken oder Calamari und dazu einen Prosecco auf Eis. Zum Dessert gibt es Tiramisu von Zott. Okay und warum das alles? Nun wenn der Deutsche das ist was er isst, dann muss man sich schon fragen , was isst der Deutsche überhaupt :-) Ich will ja nicht nur gemein sein sondern (konstruktive) Kritik äußern. Was benötigt man zu einem gelingen des Festes: Ganz einfach Man nehme 100 Gramm original Bellota Schinken aus Extremadura und ein Albariño Wein aus den Rias Baixas.
http://www.antonio-corte

http://blog.velib.paris.fr/blog/velib-et-vous/antonio-fan-numero-un-de-velib%E2%80%99/

ANTONIO, FAN NUMÉRO UN DE VÉLIB’

Rencontré lors de la Vélibienne, Antonio (à gauche) est un espagnol qui se dit « fan numéro un de Vélib’ ». J’ai cherché à connaître son regard d’étranger sur le système parisien…
Accro au Vélib’ !
A Paris depuis un an et demi, ce spécialiste du jambon ibérique (un symbole espagnol !) se dit « grand défenseur du Vélib’ ». Certains parisiens avaient tenu à Antonio tout un discours selon lequel « faire du vélo à Paris n’était pas possible, dangereux » mais il a tout de même décidé de tester Vélib’ et estimé au contraire que faire du Vélib’ est très facile, « la circulation est normale, pas très agressive, les gens sont polis ».
Antonio a même abandonné son abonnement mensuel de métro : « je prends le Vélib’ pour tous mes trajets et parfois le métro quand je suis avec des amis » qui n’ont pas encore adopté Vélib’.
C’est lui qui a poussé son amie Mariana, à ses côtés sur la photo prise à l’arrivée de la Vélibienne, à se mettre au Vélib’. Vélib’ lui a également permis de connaître Paris comme sa poche, « de découvrir beaucoup de places » par exemple.
Pas de culture du vélo en Estrémadure ?
Antonio est originaire d’Estrémadure (région frontalière du Portugal) où « les gens sont tout le temps en voiture, même pour acheter leur baguette ». Il n’y a pas de « culture vélo » explique Antonio. Je lui ai demandé si ce n’était pas aussi lié à la chaleur. Si cela peut jouer, Antonio n’y croit pas : à cette époque de l’année par exemple la température est idéale, autour de 20°, et pourtant on ne fait pas de vélo.
Cela dit, les choses changent. Des systèmes comme le Vélib’ se développent puisque cinq villes de sa région ont adopté des systèmes équivalents : Badajoz, la plus grande ville d’Estrémadure, Mérida, la capitale, Caceres, ville culturelle et universitaire, et les villes de Bon Benito et Villanueva de la Serena qui ont un système commun. Antonio a lui testé le système de Badajoz et a été convaincu : « c’est facile de se déplacer en vélo ». Même constat à Séville. Selon Antonio, Vélib’ et ses cousins fonctionnent très bien dans « les grandes avenues et les centres historiques ».
Espagne, Irlande, Italie, Paris : questions d’urbanisme
Antonio a également vécu en Italie et en Irlande. Il estime que l’urbanisme joue un vrai rôle dans le succès du vélo. Aujourd’hui se déplacer à Vélib’ dans Paris est « très facile » estime Antonio. Grâce aux doubles sens cyclables, aux pistes cyclables et voies de bus ouvertes aux cyclistes, les trajets sont « très rapides, très pratiques ». En Irlande, Antonio se déplaçait à vélo (photo ci-contre) mais « il pleut tout le temps » ! Quant à son expérience italienne, il vivait dans un petit village de montagne et a donc peu utilisé le vélo.
Le système du futur, plus que le tram
Antonio pense que les systèmes de vélos partagés « peuvent marcher dans n’importe quelle ville » et qu’ils sont « le futur » même si cela revient à un « retour aux origines ». Les choses les plus naturelles sont les plus écologiques, les plus simples, pratiques et finalement les meilleures, « comme le jambon ibérique » conclue-t-il ! Antonio regrette que dans certaines villes moyennes on investisse dans « des tramway très modernes pour dire qu’on a le tram » alors qu’un simple bus reviendrait moins cher et serait plus pratique. Mieux vaudrait selon lui développer des systèmes comme Vélib’ dans ces villes.